Par Corine et Michel ALLARD
Il faut donc faire abnégation de soi, il y a un prix à payer. Et le prix a payer est moindre car il n’est pas nécessaire de mourir pour eux.
Mais tu auras peut-être à faire des sacrifices, prendre plus de temps dans la prière, dans l’intercession, peut être sacrifier certaines choses pour que des gens soient touchés, on ne peut pas les sauver mais on peut faire dégager celui qui les empêche parce qu’il est vaincu. En tout cas moi je n’aurai de cesse que jusqu’à tous ceux que j’aime soient sauvés. Gloire à Dieu mes enfants sont sauvés, mais mes petits-enfants, je les veux au Seigneur ! Il ne se passe pas un e seule journée sans que Corine et moi on se positionne entre Satan et eux jusqu’à ce qu’ils soient complètement sauvés en Jésus-Christ. Iml y a un prix à payer mais il est moindre, par exemple : éteindre son GSM, c’est facile, bien qu’ici il n’y a pas de signal… ! Mais amener nos pensées captives de Dieu ici jusqu’à la fin de cette semaine,… Il nous connaît chacun individuellement et Il veut le meilleur pour chacun de nous mais Il nous a créés libres. A travers toutes les activités que nous avons, qui prend du temps pour prier ? Le temps mis à part pour prier n’est jamais suffisant, on est toujours à la bourre, imagine que pendant le peu de temps que tu mets à la prière et que tu entres dans sa présence et que tu dis à Dieu:«Dieu je sais que tu es un bon Dieu, que tu m’aimes, tu veux le meilleur pour moi, ta Bible dit que avant même que la parole soit sur ma bouche, tu connais déjà ce que je vais te dire, alors je ne perdrai pas de temps à prier pour moi ! Je veux plutôt prendre ce temps pour me positionner entre le Diable et ceux que j’aime, et intercéder et commencer à marteler les cieux pour que tes bien-aimés viennent au salut ! ». Je peux vous garantir que cela touche le cœur de Dieu ! Quand tu viens dans la présence de Dieu avec des actions de grâce, dans la louange en bénissant Dieu lui disant qu’il est tellement merveilleux, que je suis sauvé par son salut gratuit, mais qu’un tel ou une telle n’est pas encore sauvé et que je n’aurai de cesse d’intercéder tant qu’ils ne seront pas venus au salut, et là tu commences le combat spirituel en déclarant au Diable ce qui lui est arrivé il y a 2000 ans et tu déclares que « Moi et ma maison nous servirons l’Eternel, je crois au Seigneur Jésus , que je serai sauvé moi et toute ma famille» alors Dieu va ramener ses enfants du pays ou l’Ennemi les maintenait captifs, et tu commences à les appeler à l’existence le salut pour tes enfants, gendres, belles- filles, petits-enfants, tes frères et sœurs, ceux que tu aimes qui ne sont pas encore sauvés et tu prends le peu de temps de prière que tu as pour le consacrer à prier pour quelqu’un d’autre ! C’est cela un vainqueur ! Il faut aucun cas de sa vie, il n’est pas là pour demander à Dieu « bénis-moi, donne- moi ceci, donne –moi cela, je sais que Tu t’occupes de moi, je suis ton enfant. Dieu est un Père, un bon Père, peut- être pas celui qu’on a connu charnellement mais il est un Père parfait, un pourvoyeur, un protecteur, celui qui nous aime et nous entoure de ses bontés, de se dons mais qui nous corrige aussi comme un bon Père sait le faire, Alléluia parce qu’il veut nous affermir, nous rendre inébranlables. Alors quand tu es con- vaincu de cela, et que tu sais ce que le sang de l’Agneau a accompli à la croix, et que le Diable a été vaincu il y a 2000 ans, alors tu peux te positionner en vainqueur entre Lui et ceux que tu aimes.
En début d’année, la nuit du 31 décembre au 1er janvier, mon épouse s’est réveillée à deux occasions par le Saint-Esprit qui lui dit : « Tu commences un jeûne d’alcool pour une telle personne et tu dis à cette personne que tu jeûnes d’alcool pour elle » alors que nous on n’a pas de problème avec l’alcool mais on aime bien à l’occasion et qu’en plus en 2015 on avait beaucoup d’occasions à célébrer : le lancement du livre de Corine « Envie », mes 25 ans de ministère à temps, plein, les 60 ans de Corine, on avait au moins trois occasions à célébrer… Et nous on est dans la région de Champagne, c’e n’est pas à la bière mais au Champagne qu’on célèbre ! Quand elle me partage cette vision, je lui ai dit moi je me joins à toi. Parce que un résiste à 1000, deux à 10000 ! On est plus fort quand on est deux. Et le plus délicat c’était d’aller dire à cette personne qu’on entreprenait un jeûne d’alcool pour elle.
(Suite au prochain numéro)
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