LE MOT DU PASTEUR
QUAND DIEU TE ‘’GENE’’
Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement !
Chers frères et sœurs, « Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement » déclare l’Ecclésiaste.
En cette fin de l’anné 2017, je reste inter- pellé par les paroles du chant de l’armée céleste qui adressaient des louanges à Dieu en disant :
«GLOIRE à Dieu dans les lieux très hauts, PAIX sur la terre parmi les hu- mains de bienveillance!» (Luc 2,14).
Le mot traduit par bienveillance (eudokia- εὐδοκία en grec) n’indique pas seulement la venue du temps de la faveur. Il y a né- cessité de comprendre le rapport de cau- salité qui implique Dieu et l’humain, réciproquement. En fait, la bonne volonté de Dieu appelle notre jugement et notre décision d’accueillir la manifestation de cette grâce. Aujourd’hui encore, comme
dans la ville de David, il nous est né un sauveur. Un fils nous est donné !
Ainsi, c’est à l’être humain qu’incombe le choix de ne pas être hostile à celui qui parait comme un nouveau-né mais de le considérer comme le porteur d’un avenir et d’un devenir meilleur!
Ayons donc un regard bienveillant pour nous confier au Messie qui vient à nous et de jouir de la paix sur terre. Il s’agit de cette paix qui s’oppose à toute forme de trouble dans la vie. C’est la paix que Jésus nous donne, cette paix surpasse toute in- telligence, qui garde nos cœurs et nos pen- sées en Jésus Christ (Jean 14, Philippiens 4).
Pour l’année 2018, je me place à la suite de Jean pour souhaiter à chacun une prospé- rité à tout point de vue et une bonne santé à l’image de son âme (3 Jean 1,2).
Votre frère, Jean Willy Mbonzemba, pasteur